dimanche, octobre 6, 2024
Faits diversSociété

(Photos) L’actrice marocaine Mariam Hussein au cœur d’une nouvelle polémique

Le blackface de Mariam Hussein a du mal à passer




Décidément,Mariam Hussein multiplie impair sur impair!Sans rappeler sa “mésaventure” malheureuse à Dubaï,l’actrice marocaine ne sait quoi inventer pour faire le buzz… à ses dépens.




La voilà faisant la prière tout en se filmant puis en publiant sa “pieuse” vidéo sur Instagram.La voici grimant en noir sa frimousse blanche pour montrer sa soit-disant solidarité et son soutien au peuple noir des USA.
Cette dernière photo, la”black” Mariam Hussein l’a publiée mardi dernier avec un commentaire subliminal imitant en déformant et en mélangeant deux célèbres versets du Saint Coran.
L’un clame l’égalité des hommes dont la vertu est le seul critère pour les différencier et, l’autre, soutenant que nous sommes tous fils d’Adam et qu’Adam est de poussière.




L’effet admiratif escompté par l’actrice n’a pas eu lieu et, tout au contraire, sa photo a suscité ironie et dérision des internautes.
La Toile a considéré, à raison, que ladite photo est”pro-raciste” et n’exprime point du tout, comme le croyait naïvement Mariam Hussein, une condamnation originale du racisme.
S’étant fait bel et bien remonter les bretelles par les internautes, l’actrice polémique a supprimé sa photo de “black woman” et a mis le cliché original au lieu et place. En revanche, elle a gardé le même commentaire brouillon précité et en s’excusant de sa bévue.




Mais en prenant soin à ne pas trop vouloir fatiguer ses méninges puisqu’elle s’est contentée du mot: ”Sorry!”. En tant qu’actrice, Mariam Hussein n’aurait-elle pas dû connaître l’histoire de “Black Face”(visage noir) aux Etats-Unis, au 18ème siècle,et éviter ainsi sarcasme et moquerie?
En effet, les hommes noirs n’avaient pas le droit de monter sur les planches. Leurs rôles, au théâtre, étaient donc interprétés par des acteurs blancs qui se grimaient le visage en noir.
Bien entendu, ces rôles étaient ceux de personnages qui étaient censés être de pauvres pitres, amusant la galerie par leur maladresse, leur accent ou leur idiotie supposée.














À lire aussi:

(Vidéo) Une actrice marocaine évoque son passage dans une prison de Dubaï